Le but de tout investissement est de générer du profit et d’accroître considérablement la valeur d’une activité. Seulement, les choses changent et cette conception de la production de richesse a connu une mise à jour. En effet, il faut en plus de ce facteur, mettre sur pied des indicateurs performants capables d’évaluer l’impact des investissements sur la vie sociale et sur la préservation de l’environnement. Cette préoccupation est dans une large mesure celle de tous les Français.
L’investissement à impact social : de quoi s’agit-il ?
Le défi de la préservation de la faune et de la flore s’est positionné ces dernières années comme une obligation qui s’impose à tout le monde. Ainsi, sous l’égide de l’ONU, des législateurs nationaux et des associations internationales, les acteurs de la finance se sont engagés eux aussi à mettre la main à la pâte.
Cet engagement est aujourd’hui le fruit de ce que l’on a appelé « l’investissement responsable » ou « l’investissement à impact social ». Dans le principe, le concept veut mettre en avant une synergie entre la recherche de gains et la préservation de l’environnement.L’atteinte de ses résultats nécessite la fixation d’objectifs sociaux spécifiques mesurables à long terme par des outils d’évaluation conçus à cet effet. Dans le même temps, les investisseurs sont appelés à faire confiance à des structures spécialisées comme Neuroprofiler afin de mettre au point les meilleures innovations sociales.
L’investissement à impact social : pourquoi le concept tend-il à devenir le cœur de métier des Français ?
La naissance de l’investissement à impact social se résume autour d’une seule et grande vision. Dans les faits, le concept veut mesurer avec rigueur les performances sociales et environnementales des investissements.
Les méthodes et moyens employés pour cette raison s’apparentent à bien des égards à ceux utilisés pour évaluer les performances financières. En toute évidence, l’ensemble de ces objectifs conviennent parfaitement bien aux investisseurs français.
En effet, l’investissement à impact social les rassure et les motive. Pour ces derniers, il n’est pas le fruit d’une recherche effrénée de gains ou d’une atteinte d’objectifs individuels égoïstes. Bien au contraire, sa politique vise à se conformer aux exigences des ODD.
Dans la pratique, ces objectifs sont clairement définis et mesurables dans le temps. De plus, les outils et techniques subséquents sont mis en place pour les évaluer.
L’investissement à impact social : qui en sont les acteurs ?
S’il y a une chose qui passionne avec l’investissement à impact social, c’est assurément la diversité de ses acteurs. En effet, le concept attire les investisseurs de tous bords et de tous les domaines de l’activité économique.
En tête de liste se positionnent les fonds spéculatifs, les banques et les gestionnaires de fonds indépendants. Ceux-ci sont appelés à investir à l’aide des stratégies innovantes des actions privées ou encore des capitaux à risque.
À leur liste s’ajoutent :
- Les fondations privées ;
- Les fonds de pension ;
- Les ONG et les institutions de financement du développement ;
- Les compagnies d’assurance ;
- Les institutions religieuses, etc.
Le rôle de chacun de ces acteurs est de proposer des solutions efficaces et d’anticiper les limites de cette forme d’investissement.
L’investissement à impact social : quelles en sont les limites ?
Même si ces bénéfices restent très vastes, l’investissement à impact social présente quelques limites qu’il convient de passer en revue.
La fixation de critères trop exigeants
Le problème le plus récurrent avec ce genre d’investissement a rapport avec les critères de gestion. Assez souvent, certains investisseurs du fait de leur méconnaissance du secteur financier exigent des critères de taux et de gestion de fonds trop contraignants.
Pour conséquence directe, cela suscite la fuite des entreprises susceptibles de recevoir l’investissement et de la fructifier.
La petite taille des fonds à impact
L’autre difficulté notée est relative à la petite taille des fonds à impact existants sur le territoire français. Selon les chiffres, seulement la moitié des encours sont directement investis dans les entreprises à impact.
Ce facteur témoigne de la fragilité du secteur et des défis qui lui restent à relever. Pour ces raisons, les investisseurs sont appelés à se référer à l’expertise des financiers spécialistes du secteur.
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